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L’espace du
malentendu,
1987

Ce récit des plus singuliers mène le lecteur au cœur d’une réflexion cruciale sur la peinture, et bien davantage sur la relation de la peinture à l’écriture au travers de personnages familiers de l’auteur. Délié de toute emphase, au plus proche des sensations et pensées vécues dans l’immédiateté des rencontres, L’espace du malentendu est en bonne part autobiographique. La plupart de ses personnages y sont les doubles exacts de personnes réelles amies de l’auteur. À juste titre, l’artiste Jacques Monory écrivait de ce livre qu’il est aussi une analyse très soignée, par le biais romanesque, de la peinture de Christian Bouillé.