La particularité de ce poème qui en appelle aux grandes forces chtoniennes, est la relation osmotique qu’il entretient avec certains tableaux de Victor Brauner, en particulier la série des Rétractés, réalisés au cours des années 1951-52, période-clé pendant laquelle le poète familier de l’atelier du peintre, composa cette fracassante échappée à la jonction de deux courants d’écriture, celui de James Joyce et d’Henri Michaux.






