Dans ce petit opuscule qui s’offre au lecteur comme le prolongement personnalisé de « La séance est ouverte » - défense véhémente des meilleurs poètes de la poésie électrique et de la poésie froide - Alain Jouffroy revient sur certains aspects de l’œuvre singulière de Matthieu Messagier. En quelques pages, il rend compte de l’horizon, comme des lignes de tête et de cœur du recueil Sanctifié dont les mots « semblent aussi tomber du ciel, dans une lumière qu’on pourrait dire métaphysique, mais coïncident aussi par hasard avec les moments les plus secrets d’une expérience vécue. »

